mercredi 25 décembre 2013

Bonnes fêtes !

Je vous souhaite à tous d'excellentes fêtes de fin d'années !



Pour moi, les fêtes, c'est toute une ambiance, à commencer par les décorations à la maison et dans les rues, bien sûr, mais aussi les chants de Noël :-)


Je voulais vous faire écouter un chant traditionnel italien que je trouve magnifique, mais je ne le trouve pas sur le net, et je n'ai pas le temps de chercher comment faire pour transférer sur mon blog ce chant que j'ai sur mon disque dur, alors je vous mets juste un petit lien vers un autre chant que j'aime beaucoup : 



Et un autre, en anglais :




À l'année prochaine :-)

lundi 23 décembre 2013

Réflexions psychologiques



Quelqu'un m'a un jour prêté un livre de psychologie, un de ces jours où je m'avouais vaincue face à une situation difficile à vivre.

Je suis d'un naturel optimiste, mais j'ai comme tout le monde des passages à vide de temps en temps.

Je ne me rappelle ni le titre du livre, ni le nom de l'auteur. Il me semble qu'il est écrit par une conférencière américaine. J'ai lu le livre en version québécoise, sans m'en apercevoir, mais en m’interrogeant régulièrement sur une expression récurrente « Vous êtes le bienvenu* », qui apparaît une bonne vingtaine de fois dans l'ouvrage.

Au travers de la retranscription d'un petit nombre de ses conférences, où elle invite les gens du public à effectuer un cheminement personnel, le livre présente la méthode de l'auteur pour progresser dans ses relations avec les autres.

À l'époque, j'ai mené une expérience personnelle en suivant les étapes indiquées dans le livre, en prenant pour exemple de test l'un des membres de ma propre famille, que j'ai du mal à intégrer sereinement dans mes relations.

La méthode proposée consiste à énoncer clairement : Je n'aime pas telle personne pour telle ou telle raison, je n'aime pas quand telle personne fait ceci ou cela, puis à retourner l'affirmation : J'aime cette personne pour telle ou telle raison, j'aime quand elle fait ceci ou cela (en reprenant exactement les mêmes raisons).



L'intérêt n'est pas d'adhérer à la méthode, mais d'en tirer une réflexion personnelle. Et c'est ce que j'ai fait. 

Car, toutes les méthodes sont bonnes pour avancer, du moment qu'elles fonctionnent. Certains sont plus à l'aise quand on leur parle psychologie, d'autres ne jurent que par la spiritualité, quand d'autres encore estiment que seul le yoga, le sport, la peinture, la musique ou que sais-je encore, permettent de faire le vide, de se sentir bien dans ses baskets, et donc de se surpasser.

Au final, la lecture de ce livre, ainsi que le petit exercice pratique auquel je me suis livrée, m'a permis de me rendre compte que ce qu'on reproche aux autres, bien souvent, n'est que le reflet de ce qu'on se reproche à soi-même : Je n'aime pas quand tu fais ça, car je n'aime pas ce que ça provoque comme réaction chez moi. Tout se passe comme si l'autre était un miroir de nos actes et paroles. Ce que nous voyons dans l'autre et que nous n'aimons pas est en fait une projection de ce que nous n'aimons pas en nous.




Petite réflexion personnelle rapportée à ma vie à moi : Ma fille est un véritable tourbillon, que j'ai souvent du mal à gérer, ce qui occasionne de nombreux énervements. Je rêve d'avoir une fille plus calme qui s'occupe seule et qui ne m'empêche pas de faire mes propres activités. En fait, je lui reproche mes propres faiblesses, car elle est certainement difficile à canaliser, mais ce que j'ai du mal à vivre, c'est de ne pas y arriver ! Je voudrais être une super maman à 100 % du temps :-)



Idem avec mon conjoint et la gestion de la famille. Souvent, je rêve de ne pas être le pilier de la maison. J'ai l'impression que tout est géré par moi, que tout repose sur moi. Et je voudrais que mon conjoint fasse plus d'efforts pour s'impliquer plus. Mais en fait, le vrai problème s'articule différemment : c'est vrai que c'est moi qui gère tout, mais ce n'est pas ça qui me pèse. Je suis fière de tenir la maison comme je le fais et d'organiser nos vies de la manière que j'ai choisie. Ce qui est dur, c'est de se rendre compte qu'on ne peut pas tout faire et que quand on arrête de faire les choses, elles ne se font pas seules. D'où le désir que l'autre fasse plus. Mais c'est faire fausse route : taxer l'autre de ne pas faire les choses qu'on voudrait faire soi, c'est ça le piège :-)

Alors qu'il suffit d'accepter qu'on ne peut pas tout réussir à tous les coups, ou bien tout faire, tout simplement. C'est ce qu'on appelle le lâcher prise. Et c'est sur ça qu'il faut que je travaille encore.

C'est très dur, mais comme je dis toujours : le réaliser, c'est déjà énorme, car c'est le premier pas vers le dépassement de soi :-)

Il est pas beau celui-là ? :P

Voilà où j'en suis de mon cheminement personnel, de ce que j'attends de la vie. Je vous ai livré mes réflexions telles quelles :-)

Et vous, comment faites-vous pour avancer ? Est-ce important pour vous ? Avez-vous des « trucs » à partager ?



* Traduction littérale de You're welcome en anglais, traduit en français de France par De rien, Il n'y a pas de quoi, Avec plaisir, etc. mais jamais textuellement :-)

mardi 3 décembre 2013

« On a tous dans l'cœur une petite fille oubliée... »

Qui ne connaît pas ce refrain entêtant d'un certain Laurent Voulzy ? Allez, une petite vidéo pour vous rafraîchir la mémoire :-)




Et la petite fille chantait ! 
Et la petite fille chantait !  
Un truc qui m'colle encore au cœur et au corps !


Certaines chansons ont un puissant pouvoir apaisant sur moi, qui fait que je ne me lasserai jamais de les écouter. C'est le cas du titre The Rose, interprété par Bette Midler et composé par Amanda McBroom

Ce n'est pas vraiment une chanson de mon époque, mais elle m'a touchée dès la première fois où je l'ai entendue, quand j'étais adolescente. Tout en elle, la mélodie, la voix de la chanteuse, la beauté des paroles, l'arrangement musical, tout m'émeut à chaque nouvelle écoute.



Cette chanson est en fait le générique de fin du film éponyme sorti en 1979. Voici ce qu'on peut en lire sur Wikipédia :


Le film décrit le destin tragique d'une chanteuse de rock, prisonnière de l’alcool et subissant la pression de la célébrité et des tournées. Épuisée par ce train de vie, elle choisit de donner un dernier concert dans sa ville natale, mais ne pourra pas l'achever. Le rôle principal est tenu par Bette Midler. [...] L'action se déroule en 1969 et The Rose, une star du rock, est épuisée par la vie qu'elle mène. Elle fait donc part à son manager de son souhait de prendre une année sabbatique après un ultime concert donné dans sa ville natale en Floride. Plus intéressé par le profit que par la santé de la chanteuse, il l'en dissuade, mais Rose pense avoir rencontré l'amour en la personne de Houston Dyer et s'obstine. Le jour du concert, le plus important de sa carrière, elle choisit la scène plutôt que l'amour.


J'aimerais bien voir ce film, un jour, mais je n'en ai pas eu l'occasion jusqu'à présent. Il se peut que je sois déçue, car, bien entendu, ce n'est pas parce que le générique de fin est réussi que le scénario, ou le jeu des acteurs, est bon ! 

En attendant, je me suis essayée à une petite traduction des paroles, bien que je trouve que le texte perde de son charme et de sa dimension une fois mis en français :-)


Some say love, it is a riverCertains disent que l'amour est une rivière


That drowns the tender reed.Où se noie le jeune roseau


Some say love, it is a razorCertains disent que l'amour est une lame


That leaves your soul to bleed.Qui fait saigner notre âme


Some say love, it is a hunger,Certains disent que l'amour, c'est un désir ardent,


An endless aching need.Une douloureuse soif inextinguible


I say love, it is a flower,Moi je dis que l'amour est une fleur


And you its only seed.Et que toi, tu en es la seule graine






It's the heart afraid of breakingC'est un cœur, ayant peur d'être brisé


That never learns to dance.Qui n'apprend jamais à danser


It's the dream afraid of wakingC'est un rêve, ayant peur de prendre fin,


That never takes the chance.Qui ne saisit jamais sa chance


It's the one who won't be taken,C'est celui qui n'est jamais choisi,


Who cannot seem to give,Qui semble ne pas pouvoir donner


And the soul afraid of dyin'Et une âme, ayant peur de mourir,


That never learns to live.Qui n'apprend jamais à vivre.




When the night has been too lonelyQuand la nuit a été trop solitaire


And the road has been too long,Et que la route a été trop longue


And you think that love is onlyEt que tu penses que l'amour est réservé


For the lucky and the strong,À ceux qui ont de la chance et qui sont forts,


Just remember in the winterSouviens-toi simplement qu'en hiver,


Far beneath the bitter snowsSous la neige glaciale, enfouie,


Lies the seed that with the sun's loveRepose cette graine qui, grâce à l'amour du soleil


In the spring becomes the rose.Au printemps, deviendra une rose. 






Et vous, avez-vous une chanson ou musique fétiche ? Un refrain qui vous apaise ou vous émeut ?







Verdana et Arial

Désolée pour le retard ! Voici le résultat de mes petites recherches :-)

Verdana serait la contraction de verdant (« verdoyant » en anglais) et de Ana, prénom de la fille aînée de la personne chez Microsoft ayant déposé la demande de création de nouvelle police...

Pour Arial, il semble qu'il s'agit d'un prénom féminin hébraïque, ayant pour signification « le lion de Dieu »...

Qui aurait cru qu'Arielle la petite sirène était en réalité un lion :D ??? (Les deux prénoms ont la même origine étymologique.)

Bon, ben on se couchera moins bêtes ce soir, hein :-)